On avait déjà constaté le phénomène à l’occasion des élections européennes.
Il s’est reproduit lors du premier tour des régionales.
Un nombre assez considérable d’électeurs théoriquement inscrits (inscriptibles ?) sur les listes des bureaux de vote concernés par le GPV (Gros Problèmes pour les Votes), ne semblent pas être en mesure d’exprimer leur suffrage.
Le nombre des « cartes en retour », cartes électorales non reçues par les électeurs, et remis dans le bureaux de votes, est par exemple particulièrement important dans les bureaux de l’école Romain Rolland.
Respectivement :
- 335 « cartes en retour » sur 858 inscrits au bureau n° 57 de l’école Romain Rolland (bureau le plus au nord du quartier)
- 288, sur 1011 inscrits au n°56 de la même école
- contre 37 aux Guernazelle n°63 par exemple, le bureau le plus au sud de la Source, pour 929 inscrits.
On nous dira certes, que les habitants des immeubles Hlm du nord sont plus « mobiles » que ceux du sud pavillonaire. Sans doute. Mais quand même !
Mieux encore, on peut s’interroger sur l’attention portée par les services municipaux en charge des inscriptions, au regard de la copie de ce jugement en référé obtenu le jour même du 1er tour par un citoyen injustement « radié »
On aurait ainsi la radiation facile dans notre bonne mairie ?
Et comme par hasard sur un bureau manifestement très favorable à la gauche.
Bonjour, sauf erreur de ma part, la carte électorale n’est pas obligatoire pour voter, la C.I.N. permet de voter si l’on a pas reçu la dernière carte de vote… Donc ceux qui veulent voter le peuvent, avec ou sans la carte électorale…
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En effet, mais à condition d’être inscrit sur les listes et non radié.
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